Les Chiang-Shih chinois

Chiang-Shih

Chiang-Shih
Chiang-Shih

Appelés CHIANG-SHIH, les vampires chinois s’en prennent aux femmes et tuent les nouveaux-nés.

Ils ont des ongles terriblement développés, des yeux injectés de sang, des lèvres tuméfiées.

Pour lutter contre ces monstres, n’essayez pas l’ail ou le pieux, mais utilisez plutôt des incantations taoïstes, riz collant (qui brûle le vampire), ou d’autres sorts et formules dans le même genre.

Pour en savoir plus, lisez cette très bonne page sur le vampire chinois sur le site cinemasie.com

Libye

Lamia

Lamia de Draper
Lamia de Draper

Lamia était la fille de Poseidon et de Lybie. Elle était reine de Libye. Et Zeus tomba amoureux d’elle. Hera, jalouse, la transforma alors en monstre (une autre version dit qu’elle tua les enfants de Lamia et la haine la transforma ensuite en monstre) et tua ses enfants. La malédiction de Lamia fut qu’elle ne put fermer les yeux, et donc qu’elle fut à jamais obsédée par l’image de ses enfants morts. Zeus lui donna la capacité d’enlever ses yeux pour se reposer et de les remettre ensuite.

Lamia est envieuse des autres mères et mange leurs enfants. Elle a le corps d’un serpent et le buste et la tête d’une femme. Lamia est à l’origine de Lamiae de petits monstres africains dont les sifflements sont agréables mais qui tuent les enfants, qu’on appelle aujourd’hui les lemures.

Jingle (de pub) Bells, Jingle (de pub) Bells, all the things to buuuyyy !

Tu sais le Santa Claus (pas barbie) avec une barbe blanche et un chapeau rouge.

De plus je suis intimement persuadé que le père Noël est un vampire. Ben ouais, il est immortel (qu’on ose me dire que Santa Claus is dead), il se réveille une fois par an pour sortir de son grand nord où il cache son cercueil et enfin il se glisse chez les gens on ne sait comment. Si ça prouve pas que Santa est un vampire, alors…

Comme je raconte n’importe quoi cette veille de fêtes en tout genre, je vous propose plutôt quelques voeux en dessins.

Bizes à tous.

Fritz Haarman, le vampire d’Hannover

Il fut établi lors de son procès que Haarmann, avec son complice Hans Grans, tua au minimum 24 personnes de tous âges entre septembre 1918 et juin 1924. Le nombre exact de ses victimes n’a jamais pu être établi. Mais les détails des meurtres étaient horribles. Haarmann aurait découpé les corps en morceaux et les aurait jetés dans la Leine (rivière qui passe à Hanovre). Il est aussi possible qu’ils aient été transformés en saucisses. Mais cette rumeur n’a jamais pu être prouvée. Le 19 décembre 1924, il fut condamné à mort par décapitation, sentence qui fut exécutée à l’aube du 15 avril 1925 dans la cour de la prison de Hanovre.